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Le mouvement anti-colonisation israélien la Paix Maintenant a annoncé jeudi avoir présenté un recours devant la Cour suprême contre l’agrandissement « illégal » d’une implantation en Cisjordanie occupée.

Dans cet appel, la Paix Maintenant exige l’arrêt immédiat de « la construction illégale d’un nouveau quartier de l’implantation de Halmich » dans le nord de la Cisjordanie, près de la ville de Ramallah. Selon ce mouvement, la construction de 25 nouvelles maisons a commencé sans même l’autorisation préalable des autorités.

Le quotidien israélien Haaretz fait état jeudi pour sa part d’une « intensification de la construction ces derniers mois » dans des colonies de Cisjordanie, qu’elles aient ou non obtenu le feu vert des autorités. Il signale notamment des constructions dans les colonies sauvages de Mitzpeh Ahiya et Adeï Ad au nord de Ramallah, ainsi que des constructions de maisons dans cinq implantations de cette région ainsi que dans la colonie de Na’ale.

D’autres quartiers sont en cours de construction dans les implantations de Maaleh Shomron, Elkana et Zofim, dans le nord de le Cisjordanie ainsi que des routes, selon cette source.

La Paix Maintenant a comptabilisé 560 bâtiments (provisoires ou en dur) érigés dans une centaine de colonies sauvages, ces trois dernières années, alors qu’Israël s’était engagé à démanteler ces avant postes construits sans permis.

Fin janvier, au cours de la campagne électorale, l’actuel Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu s’était prononcé contre tout démantèlement « par la force » de colonies sauvages en Cisjordanie occupée.

Près de 300 000 colons israéliens se sont installés en Cisjordanie depuis son occupation en juin 1967, hors Jérusalem-est annexé après sa conquête en juin 1967

A Jérusalem-est 190 000 Israéliens vivent dans un douzaine de quartiers de colonisation.

Aux yeux de la communauté internationale, toutes les colonies dans les territoires palestiniens occupés depuis juin 1967 sont illégales. Le vice-président américain Joe Biden a appelé mardi Israël à arrêter la colonisation.

(Belga)

NICOSIE (AFP) — Le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, a appelé mercredi Israël à mettre fin au blocus imposé à la bande de Gaza, en laissant entrer du carburant et de l’aide pour soulager les 1,5 million d’habitants de ce territoire.

« Je suis très inquiet de la situation dans la bande de Gaza », a déclaré M. Ban lors d’une conférence internationale organisée à Chypre sous les auspices des Nations unies en soutien au processus de paix au Proche-Orient.

Il a affirmé que la vie dans cette enclave appauvrie était « extrêmement difficile », trois mois après la fin d’une offensive meurtrière lancée par Israël contre la bande de Gaza, contrôlée par le mouvement islamiste palestinien Hamas.

L’interdiction quasi totale imposée à l’importation et à l’exportation de produits, à l’exception de ceux de première nécessité, constitue une menace pour l’aide humanitaire, la reprise économique et le développement à long terme de la bande de Gaza, a-t-il souligné.

« Les mesures susceptibles d’accentuer les souffrances sont inacceptables et doivent cesser immédiatement », a-t-il ajouté.

« J’appelle Israël à assurer une entrée suffisante de carburant, de liquidités et de matériel qui sont nécessaires de façon urgente pour réparer les écoles, les cliniques, les installations sanitaires et abris », a dit M. Ban.

Le Dignity, un bateau qui s’était rendu à quatre reprises de Chypre vers la bande de Gaza avec de l’aide humanitaire, brisant ainsi par la mer le blocus, a coulé lundi au large de Chypre pendant une tempête violente alors qu’il était remorqué vers le port chypriote de Larnaca pour réparations.

A l’initiative de militants pro-palestiniens du Free Gaza Movement, le bateau devait se rendre une nouvelle fois le 1er juin, avec d’autres embarcations, à Gaza pour y acheminer de l’aide.

Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a adopté un ton ferme mardi à Damas, pour rappeler que l’Iran et la Syrie étaient et resteraient « unis » derrière la « résistance » palestinienne à Israël.

Sur le sol de son plus proche allié, avec lequel il soutien le Hezbollah chiite libanais et les mouvements palestiniens, Ahmadinejad doit rencontrer les chefs en exil du Hamas, le Mouvement de la résistance islamique, ainsi que d’autres groupes militants palestiniens.

Au cours d’une conférence de presse conjointe avec le président syrien Bachar el-Assad, il a estimé que l’alliance entre les deux pays obtenait des « victoires » en empêchant « l’offensive des grandes puissances en vue de dominer la région ».

« Nous ferons en sorte que la résistance continue jusqu’à ce que tous les territoires occupés soient libérés », a-t-il ajouté.

L’Iran a envoyé des signaux contradictoires en réponse aux appels au dialogue lancés par le nouveau président américain Barack Obama, adoptant parfois un ton modéré, mais revenant sur la ligne dure à d’autres occasions.

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Plus d’infos : http://tempsreel.nouvelobs.com/depeches/international/proche_moyenorient/20090505.FAP0405/le_president_iranien_en_visite_chez_son_allie_syrien.html

BRASILIA, 4 mai (Xinhua) — Le président iranien Mahmoud  Ahmadinejad a envoyé lundi un message à son homologue brésilien  Luiz Inacio Lula da Silva, faisant part de sa décision de reporter sa visite prévue au Brésil en raison des élections présidentielles prévues en juin en Iran.

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La visite du président Ahmadinejad avait suscité un tollé dans  la communauté juive à Rio de Janeiro et à Sao Paulo.

Plus d’infos : http://www.french.xinhuanet.com/french/2009-05/05/content_871866.htm

ROME – Comme prévu, le nouveau chef de la diplomatie israélienne, Avigdor Lieberman, a préféré mettre l’accent sur le ‘danger iranien’ plutôt que sur les perspectives d’Etat palestinien lundi à Rome, première étape d’une tournée européenne qui l’emmènera ensuite à Paris, Prague et Berlin.

« Nous tenons à souligner que le plus gros problème au Moyen-Orient actuellement c’est l’Iran; un Iran qui devient nucléaire et qui devient, ou est déjà devenu, un facteur de déstabilisation pour le monde entier », a dit le chef du parti d’extrême droite Yisraël Beitenu.

Accusé de soutenir le Hamas palestinien et le Hezbollah libanais, l’Iran est considéré par Israël, à partir du moment où il se doterait de l’arme nucléaire, comme une menace contre l’existence même d’un Etat juif au Moyen-Orient.

« La compréhension pour les inquiétudes d’Israël doit être totale », a déclaré le ministre italien des Affaires étrangères, Franco Frattini, en rappelant que les pays occidentaux, et même les Etats arabes, s’inquiétaient de l’influence croissante de l’Iran dans la région.

Mais il a rappelé que l’Italie présiderait en juin une réunion du G8 sur le terrorisme, la drogue et le crime organisé aux frontières de l’Afghanistan et du Pakistan, et qu’elle entendait y associer l’Iran. « Nous ne parlerons pas du dossier nucléaire », a-t-il ajouté, en soulignant qu’il s’agissait de dossiers séparés.

Avigdor Lieberman a dit vouloir « promouvoir l’extension des relations avec l’Europe » mais l’Union européenne a décidé de geler ce processus en attendant que le nouveau gouvernement israélien, dirigé par Benjamin Netanyahu, s’engage à oeuvrer à la création d’un Etat palestinien.

« DÉCLARATIONS ET SLOGANS »

Le chef du Likoud a soigneusement évité de prendre un tel engagement et Lieberman lui-même a inauguré ses nouvelles fonctions le 1er avril en reniant la promesse faite en ce sens par l’ancien Premier ministre Ehud Olmert en novembre 2007 à la conférence d’Annapolis.

Interrogé sur ce point lors de sa conférence de presse commune avec Frattini, Lieberman a argué qu’il était trop tôt pour un gouvernement âgé de seulement cinq semaines pour « avoir tous ses projets diplomatiques prêts » mais il a promis de chercher à aboutir à une situation de « stabilité durable ».

« Nous avons l’intention de prendre l’initiative et de ne pas perdre notre temps à des déclarations et des slogans », a-t-il ajouté, réaffirmant que depuis les accords d’Oslo de 1993 les rencontres et propositions de paix n’avaient abouti « à aucun résultat concret ».

Si l’UE a pris l’initiative de geler le renforcement des relations avec Israël, elle attend la première rencontre entre Benjamin Netanyahu et le président Barack Obama, le 18 mai, pour savoir sur quel pied danser avec le gouvernement conduit par le chef du Likoud.

Le nouveau président américain s’est lui aussi engagé à oeuvrer « vigoureusement » en faveur d’une solution dite « à deux Etats » et le président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas a exigé qu’Israël s’engage sur cet objectif avant toute reprise des négociations de paix.

Avigdor Lieberman sera aussi attendu sur ce point lors de ses autres étapes européennes. A Paris, il sera notamment reçu par Claude Guéant, secrétaire général de l’Elysée, mais pas nécessairement par le président Nicolas Sarkozy.

« Je ne dis pas qu’il y a une condition, mais ce qui serait souhaitable quand même, c’est qu’Avigdor Lieberman se rallie aux décisions qui ont été prises par la communauté internationale, c’est la moindre des choses », a déclaré Claude Guéant dimanche au micro de Radio J.

Source : L’Express.fr

PARIS – Le Premier ministre irakien Nouri al-Maliki a estimé, lundi à Paris, que « les opportunités étaient là, dans un climat sûr », pour les entreprises françaises qui souhaitent investir en Irak.

« Les inquiétudes des sociétés n’ont plus lieu d’être », a-t-il plaidé lors d’une rencontre au Medef avec des chefs d’entreprise français. « La situation sécuritaire est aujourd’hui favorable pour les entreprises qui souhaitent travailler en Irak », a-t-il jugé.

« Nous avons besoin de reconstruction dans tous les domaines », a-t-il ajouté, soulignant que « les opportunités sont là, dans un climat sûr, sous parapluie gouvernemental ».

Enumérant les secteurs que va privilégier le pays pour faire face à ses besoins de reconstruction, M. Maliki a cité le pétrole et le gaz, le logement, la santé, l’éducation et l’enseignement supérieur, ainsi que l’agriculture.

Il a notamment dit attendre bientôt « la venue du président de Total en Irak, afin de voir comment passer des contrats ».

M. Maliki devait ensuite rencontrer le président Nicolas Sarkozy qui s’était lui-même rendu à Bagdad le 10 février dernier pour une visite destinée à relancer les relations franco-irakiennes après la chute du régime de Saddam Hussein en 2003.

La présidente du Medef, Laurence Parisot, a de son côté indiqué que le mouvement patronal conduirait « une délégation d’entreprises en Irak dès que la situation le permettra ». « Nous espérons le faire début 2010 », a-t-elle dit.

Source : Romandie.com

rabbins

Des rabbins ont enjoint les autorités israéliennes de réduire l’entrée dans le pays d’aides soignantes étrangères de crainte que leurs employeurs masculins ne cèdent avec elles au péché d’adultère, rapporte lundi le quotidien Maariv.

Saisi par une épouse trahie, le tribunal rabbinique de Rehovot, au sud de Tel Aviv, a demandé à l’Etat d’interdire le séjour en Israël d’une employée des Philippines avec laquelle son mari avait une liaison.

« Les autorités doivent appliquer les restrictions prévues par la loi pour veiller à l’honneur des filles d’Israël », écrit le président du tribunal, le rabbin Nahoum Gortald.

« Il est inconcevable qu’un homme quitte une épouse dont la beauté porte la traces des ans pour une employée étrangère plus jeune », poursuit-il dans ses attendus.

Selon des associations laïques de défense des droits civiques, il y a en Israël 30.000 couples mixtes, dont l’un des conjoints n’est pas juif.

Seul le mariage religieux est possible pour les juifs, comme pour les chrétiens, les musulmans et les druzes. Les mariages comme les divorces sont du ressort des tribunaux rabbiniques pour les juifs.

Les mariages mixtes, sans conversion de l’un des conjoints, sont légalement impossibles en Israël. Les couples mixtes qui veulent s’unir légalement doivent donc se rendre à l’étranger, notamment à Chypre.

Les autorités israéliennes reconnaissent néanmoins les mariages civils célébrés à l’étranger.

Source : Lepoint.fr

Une ONG israélienne a accusé lundi le Shin Beth (services de sécurité intérieure israéliens) d’exercer des pressions sur des Palestiniens de Gaza venant se faire soigner en Israël. L’objectif est de leur soutirer des informations.

L’Organisation « Médecins pour les droits de l’Homme » affirme dans un rapport que « 438 patients (ont été) soumis à des interrogatoires préalables du Shin Beth, dont dépendent la délivrance d’un permis de sortie de Gaza, entre janvier 2008 et mars 2009. »

Alors qu’en janvier 2008, seuls 1,4% des demandeurs de permis subissaient ces interrogatoires, ils étaient 17% en janvier 2009, selon ce rapport adressé à la commission des Nations Unies contre la torture. Ces méthodes violent le droit international, affirme l’ONG, et notamment la quatrième convention de Genève, qui interdit de faire pression sur des civils pour obtenir des informations.

Les autorités israéliennes ont démenti ces accusations. S’appuyant sur les témoignages de 30 patients, l’ONG affirme que des malades ont « été photographiés à leur insu, détenus longtemps pour interrogatoires et harcelés de questions » en dépit de leur état.

Elle mentionne une adolescente de 17 ans atteinte d’un cancer qui n’a été autorisée à entrer en Israël qu’après une journée d’interrogatoire, malgré ses pleurs. Elle ajoute que nombre de ceux « qui refusaient de collaborer ont été renvoyés vers Gaza ».

L’ONG rapporte par ailleurs des témoignages de patients empêchés par la police du Hamas, qui contrôle la bande de Gaza, d’aller se soigner en Israël en raison de ces interrogatoires.

Réagissant à ces accusations, Mark Regev, le porte-parole du premier ministre, dont dépend le Shin Beth, a affirmé à l’AFP que « 13’000 malades de Gaza se font soigner chaque année en Israël. Prétendre qu’il est exigé d’eux des informations au préalable est simplement ridicule. »

Source : Romandie.com

MADRID – Le juge espagnol Fernando Andreu a décidé lundi, contre l’avis du parquet, de poursuivre son instruction pour « crime contre l’humanité » visant des responsables militaires israéliens présumés d’un bombardement meurtrier à Gaza en 2002, invoquant l’absence d’enquête en Israël.

Le magistrat argumente qu’Israël n’a pas enquêté sur ces faits et que quand bien même ce serait le cas, cela ne priverait en rien la justice espagnole de sa compétence juridique, dans un procès verbal auquel l’AFP a eu accès.

Le parquet espagnol avait réclamé le 2 avril le classement provisoire de la plainte à l’origine de cette enquête, dont l’ouverture fin janvier avait provoqué la colère d’Israël et l’embarras du gouvernement espagnol, soucieux de jouer un rôle diplomatique actif en faveur de la paix au Proche-Orient.

L’enquête espagnole se base sur une plainte du Centre palestinien pour les droits de l’homme dénonçant une frappe aérienne israélienne qui avait tué un dirigeant du Hamas, Salah Chehadeh et 14 civils palestiniens, « en majorité des enfants et des bébés », le 22 juillet 2002.

Quelque 150 Palestiniens avaient été blessés pendant cette attaque, dans l’explosion d’une bombe d’une tonne larguée par un F-16 israélien à Gaza, sur une maison du quartier Al Daraj.

La plainte vise l’ex-ministre israélien de la Défense Benjamin Ben-Eliezer et six hauts responsables militaires israéliens.

Le parquet devrait selon toute logique faire appel de la décision du juge avec lequel il s’oppose sur la portée de la compétence universelle que se reconnaît depuis 2005 la justice espagnole pour enquêter sur les crimes contre l’humanité, génocide, torture ou terrorisme commis dans le monde entier.

La reconnaissance de ce principe a créé des désagréments diplomatiques à l’Espagne, avec Israël, les Etats-Unis, la Chine ou le Rwanda, poussant le parquet à en promouvoir une interprétation plus strictement limitée.

Le ministère public insiste ainsi sur le fait que la compétence espagnole n’existe que si les faits visés ne font ou n’ont fait l’objet d’aucune enquête judiciaire dans le pays où ils ont été commis.

Il avait ainsi invoqué le 2 avril l’existence d’une enquête du parquet militaire israélien sur le bombardement de Gaza pour réclamer le classement du dossier espagnol, jugeant que « la raison élémentaire (…) est d’accorder la priorité à la juridiction de l’Etat où le crime a été commis ».

Le juge Andreu conteste formellement cette analyse. « Aucune investigation criminelle, qui pourrait donner lieu à un conflit de juridictions ne s’est produite jusqu’à présent » en Israël, argumente-t-il.

Il relève que « le parquet militaire israélien, rejoint par le parquet général d’Israël, a décidé au vu des conclusions des services de sécurité de l’armée de ne pas ouvrir d’enquête pénale » et que « le Tribunal suprême (d’Israël, ndlr) n’a pas apprécié juridiquement les faits dénoncés ».

Le juge Andreu conteste également que l’existence d’une enquête en Israël puisse priver la justice espagnole de sa compétence.

Il se fonde sur l’article 146 de la 4e Convention de Genève (1949) qui stipule: « Chaque partie contractante aura l’obligation de rechercher les personnes prévenues d’avoir commis, ou d’avoir ordonné de commettre, l’une ou l’autre de ces infractions graves, et elle devra les déférer à ses propres tribunaux, quelle que soit leur nationalité ».

Source : L’Express

TEHERAN, 3 mai (Xinhua) — Le président iranien Mahmoud  Ahmadinejad effectuera des visites officielles dans trois pays  d’Amérique latine du 7 au 8 mai, soit de jeudi à vendredi, d’après l’agence de presse officielle IRNA dimanche.

Le ministre iranien des Affaires étrangères a fait l’annonce  dans une interview accordée à la chaîne de télévision publique:  » Il est prévu que le président effectuera une visite au Brésil, au  Vénézuela et à l’Equateur à la fin de cette semaine, » d’après IRNA.

Au cours de sa visite au Brésil, Ahmadinejad sera accompagné  par une délégation économique composée de « 110 représentants de 65 compagnies iraniennes des différents secteurs du pétrole, du gaz,  des produits pétrochimiques, de l’agriculture, de l’industrie  alimentaire, de la construction automobile et de l’industrie de la construction, » selon IRNA qui citait la dernière déclaration de  l’ambassadeur iranien au Brésil, Mohsen Shaterzadeh.

Sur la visite d’Ahmadinejad en Equateur, Mottaki a indiqué  qu’elle « vise à assurer le suivi des accords signés l’année  dernière entre les deux présidents à Téhéran. »

En décembre 2008, Ahmadinejad et son hôte, le président  équatorien Rafael Correa Delgado a appelé à l’expansion des liens  entre les deux pays.

Entre temps, les ministres du Pétrole, des Mines, de  l’Agriculture et de la Défense des deux pays ont mis l’accent sur  le développement d’une commission économique conjointe par les  deux parties comme un support pour « mettre en application les  accords signés entre les deux pays. »

Concernant la visite au Venezuela, Mottaki a indiqué qu’elle  sera en ligne avec la coopération constante entre les deux pays et visera « la création d’un fonds commun pour la coopération et  l’investissement dans un pays tiers avec pour siège à Caracas. »

Le fonds fait partie d’un projet de banque commune Iran- Venezuela, dont le bureau a été ouvert en mars dernier à Téhéran.

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